Pierre Nolasque Oyono Bika, à peine arrivé à la tête de cette institution, s’est lancé dans un vaste programme de réforme avec une équipe jeune, forte et dynamique. La plus révolutionnaire et ambitieuse des articulations de son engagement est la transformation digitale de la rentabilité de l’Imprimerie Nationale. Cette stratégie de travail avec une modernisation à nul autre pareil dans le traitement des commandes conduit inévitablement cette structure vers un avenir plein de succès, d’où ces cabinets noirs qui s’organisent pour ternir l’image de marque de celui la même qui a bénéficié de la très haute confiance du Président de la République Chef de l’Etat pour présider aux destinées de la mère des imprimeries au Cameroun.
L’imprimerie Nationale, il y a quelques années était le théâtre des grèves, des mouvements d’humeur, des bruits de tout bords, mais avec l’arrivée du Directeur Général Oyono Bika, tout va pour le mieux dans le volet purement social. L’homme a su encadrer, modérer les tensions et ramener le personnel vers lui comme un bon père de famille surtout qu’il a trouvé la stratégie du nerf de la guerre pour le bonheur de tous ces chefs de familles qui font l’effectif de cette boîte en leur donnant régulièrement leurs salaires.
Le Programme de restructuration et de réforme mis sur pied, Cette lancée évolutive et innovatrice a eu l’accord des pouvoirs publics et dans la même lancé, le gouvernement a donné quitus de pouvoir s’attacher des services d’un partenaire sérieux. Ce dernier est connu et les pourparlers sont très avancés, d’ailleurs la présidence de la République a donné l’accord de non-objection pour la poursuite de ces opérations en vue de la signature dans un avenir non déterminé d’une convention, d’où la tenue d’un séminaire atelier par le Ministre en charge de la communication tutelle technique. L’Election Présidentielle qui tend à l’horizon est également un moyen pour les détracteurs de s’armer afin de créer des situations néfastes au top management comme quoi il ne doit pas être celui qui gère ce travail délicat et sensible c’est-à-dire produire la paperasse électorale.
Voila la raison de l’acharnement que subit le Directeur Général de l’imprimerie Nationale. Une façon de dire que le démon n’aime pas l’évolution, le diable ne supporte pas la lumière ou alors la modernisation et le rayonnement de l’Imprimerie deviennent gênante surtout pour ceux qui n’ont pas cru a la modernisation de cette structure par cette nouvelle équipe et pourtant le Président de la République se trompe difficilement sur ses choix. Parmi ces adeptes du mal qui veulent voir le DG échoué dans ses missions, il y a ceux-là qui confondent leurs rôles au sein de cette boite concernant ainsi le traitement des dossiers s’arrogeant alors des fonctions d’autrui, s’accaparant des pouvoirs d’autrui, il y a ceux qui n’ont plus la moindre faille de poursuivre dans le détournement des commandes. Toutes choses qui étaient destinées à plomber l’Imprimerie Nationale. Le top Management a tout mis en œuvre pour que ces pratiques malsaines restent juste un triste souvenir. Il est important de le préciser, le Siege de l’Imprimerie est déjà entièrement sous surveillance vidéo jusque dans les ateliers des machines et autres bureaux administratifs. Et c’est l’un des éléments qui font en sorte que les anciens esprits maléfiques ne s’expriment plus librement comme par le passe, d’où la colère de ces mafieux d’un autre genre. Mais la malchance qu’ils ont, c’est juste que le nouveau top management est en mission de restructuration et de modernisation pour des lendemains meilleurs.
Le décret du 08 Novembre 2023, le déclic
Pourquoi parler de déclic, c’est parce qu’il donne beaucoup de privilège a l’imprimerie nationale. Ce décret restructure la boîte, a transformé cette direction en direction générale, a accordé un peu plus de pouvoir à la direction générale pour la gestion courante des affaires de la structure. Au regard de ce nouvel organigramme avec tout ce que cela comporte, une bande de personnes négatives s’est décidée d’en découdre avec le Directeur General en lui jetant les peaux de banane de façon permanente afin de le voir tomber. Comme illustration, nous avons des images et certaines informations erronées qui sont en circulation depuis un certain temps, alors que celles-ci n’ont rien a voir avec l’actuelle gestion à savoir celle de Pierre Nolasque Oyono Bika. Ce sont des vieilles histoires qui n’ont rien à voir avec l’actualité dans cette institution qui vibre au rythme du travail, du bien-être et de la bonne humeur. Le personnel est pris au sérieux, leurs doléances sont transmises auprès de la hiérarchie, les salaires ne souffrent de rien, bref tout va bien à l’imprimerie nationale. C’est le Directeur General actuel qui subit juste la nostalgie de la réforme, mais c’est une tempête qui est entrain de passer car le ministère de tutelle, à sa tête nous retrouvons une personnalité imposante et qui adore le travail bien fait. Le Ministre Rene Emmanuel Sadi puisqu’il s’agit de lui, au-delà des fonctions de tutelle technique joue le rôle de conseiller permanent des responsables de cette structures, il le fait avec amour au nom du Président de la République garant des institutions de la République.
Tout compte fait, les hiboux qui rodent autour de la tête du DG doivent savoir que ce ne sont pas les murmures, le colportage ou la désinformation qui dirige le Cameroun. Bientôt la fin de la recréation.
Serge Nna